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My Media dévoile les niveaux de son indicateur d’attention Alpha et observe des progressions des Bêtas de mémorisation en radio et affichage

My Media dévoile les niveaux de son indicateur d’attention Alpha et observe des progressions des Bêtas de mémorisation en radio et affichage
Début septembre dernier, My Media nous révélait ses travaux sur l’indice Alpha (voir archive). Selon l’étude, menée auprès de 4 002 répondants, l’attention diffère selon les types d’écran ou support. L’attention moyenne accordée à une publicité diffusée au cinéma est de 61% (vs plus de 85% estimé jusqu’ici).
La Presse capitalise sur son contrat de lecture se traduisant par une forte attention aux contenus, notamment publicitaires : avec une moyenne d’attention à 40%, la presse magazine affiche un niveau d’attention accordé aux publicités au sein des mensuels de 46%, contre 40% pour les hebdomadaires.
La presse quotidienne est dans la moyenne avec un alpha moyen de 40%.
La télévision se place en troisième position avec une attention moyenne de 38%. De façon générale, les + de 50 ans accordent le moins d’attention aux publicités. Le bassin captif de la télévision se concentre sur les 25-49 ans avec une attention moyenne de 46%.
Dans le détail des types de chaines, les hertziennes historiques ont une attention moyenne de 34%. Les récentes chaines de la TNT ont un score de 38%.
La télévision consommée en Replay révèle une attention moyenne en net retrait à 33% en ligne avec un schéma davantage «digital».
Avec un Alpha moyen de 32%, la radio signe un score plus élevé que prévu.
Avec un Alpha moyen de 22%, les formats publicitaires diffusés via les canaux digitaux captent moins l’attention des internautes et mobinautes. Le format vidéo gagne un seul point d’Alpha. L’étude note que lorsque la publicité est diffusée sur les réseaux sociaux ou sur les plateformes dédiées à la vidéo, un très léger gain d’attention s’effectue.
Si l’étude menée révèle les valeurs Alpha moyennes accordées par un individu à une publicité en fonction du média consommé, ces résultats permettent en outre d’en déduire le Bêta de mémorisation, selon l’équation énoncée par Armand Morgensztern, à savoir que Alpha² = Bêta. En dehors de la radio et l’affichage dont les Bêtas de mémorisation progressent de façon très significative, et du cinéma dont le score de mémorisation est réajusté à une valeur plus en phase avec les modes de consommation, les autres médias conservent en moyenne des bêtas relativement similaires aux valeurs usuellement pratiquées.
Toutefois, dans le détail, l’étude Alpha permet maintenant d’évaluer les Bêtas de mémorisation par cible et par segment média.
 
Méthodologie : Etude déclarative réalisée par Harris Interactive auprès de 4.000 Français âgés de 15 ans et plus – Octobre 2018.

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