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Le 25 mars, les Rencontres de l’Udecam ont consacré une édition spéciale à l’achat programmatique. Ils et elles ont dit…

Le 25 mars, les Rencontres de l’Udecam ont consacré une édition spéciale à l’achat programmatique. Ils et elles ont dit…

Bertrand Beaudichon (Udecam) :
«la loi Sapin ne pouvait pas prévoir qu'il y aurait des transformateurs d'espaces»
«il ne faut pas confondre transparence et loi Sapin, ni transparence et gratuité»

Sébastien Danet (Udecam) :
«sur les 20 dernières années, les médias français sont devenus les moins chers d'Europe et le poids de la pub dans le PIB y est le plus faible»

Jean-Baptiste Rouet (AOD) :
«l'achat programmatique a d’abord été créé pour monétiser les invendus»
«l'achat programmatique, c'est avant tout acheter une audience (plutôt qu'un média)»
«la croissance de l’achat programmatique est drivée par la data»

Sébastien Leroyer (PwC) :
«l'achat programmatique a représenté les 2/3 de la croissance du marché du digital en France»

Pierre Calmard (I-Prospect) :
«nous utilisons 37 technologies différentes dans nos campagnes»
 

David Baranes (AppNexus): 
«la France est le mauvais élève de l'Europe en matière de publicité mobile, malgré ses taux d'adoption (…) en revanche il y a une dynamique extraordinaire pour l'achat programmatique sur mobiles»
 
Julien Gardès (Rubicon):
«la synchronisation avec les DSP se fait essentiellement au niveau du cookie»
«la France est à l’avant-garde des places de marché privées»
 
Alain Levy (Weborama) : 
«la qualité de la data a 3 dimensions : son impact, sa fraîcheur et ses aspects juridiques»
 
Grégoire Peiron (DoubleClick):
«la transparence est au coeur des enjeux du RTB vidéo : brand safety, contexte de diffusion et connaissance des prix»
 
Alain Sanjaume (Exelate):
«les 3 données les plus demandées sont le socio démo, les centres d’intérêt et les intentions d’achat»
«on ouvre aujourd'hui la data sur des données brandées»
 
Nick Hugh (Yahoo):
«notre objectif est que tout notre inventaire soit disponible en programmatique»
«les native ads sont un vecteur de croissance pour le programmatique»
 
Pierre-Jean Bozo (UDA):
«selon une étude WFA, le trio de la transparence économique dans le monde, concernant le secteur de la publicité,  est : 1) la France 2) les pays nordiques 3) le Canada. La Chine est le pays le moins transparent du monde, suivi par le Japon.»
 
Philippe Boutron (Citröen): 
«nous créons en interne une DMP intégrant l'ensemble des médias»
«n'oublions pas la création, les créatifs de demain devront aussi être au coeur de la technologie»
 
Yannick Lacombe (France Télévisions Publicité):
«La généralisation de l'usage crée de la densité et de la valeur (…) si on fait du programmatique, c’est parce que c’est rentable.»
«le RTB touche le cœur de l’entreprise car le linéaire va y arriver»
 
Alexandra Mauraisin (Groupe La Poste): 
«avec le programmatique on a plus de leads – un meilleur CPA – et ils sont plus qualifiés»
 
Laurent Battais (Médiamétrie) :
«à la fin de l'année, OCR intégrera le mobile et la tablette»
 
Olivier Mazeron (GroupM): 
«concernant le recrutement,c’est un casse-tête : statistiques, techno, commercial, analyses médias… ce n’est pas facile de trouver le mouton à 28 pattes»
«le programmatique sans le contenu adapté – à l'écran, au mode de consommation… – ça ne marche pas» 
«il permet de diffuser un message moins intrusif et plus ciblé, le RTB est un facteur majeur de l’expérience de marque»
«la digitalisation des médias et des foyers implique la diffusion du RTB au-delà du digital seul»
 
Arthur Millet (La Place Media/Amaury): 
«on ne fait pas d'opérations spéciales sur La Place Media, ce n'est pas son rôle»
«les CPM des espaces premium ont augmenté de 80% en 2013 sur La Place Media»
 
Isabelle Godefroy (ING Direct): 
«le découpage des coûts du programmatique n'est pas encore tout à fait clair»
«il n’y a pas de formule magique : on teste nos investissements pour gagner en efficacité ; il y a encore beaucoup de travail à faire pour vraiment gagner de l’argent»
 
Eric Aderdor (SRI): 
«trop de réglementation peut tuer un écosystème»
 
Jean-Luc Chetrit (Udecam) : 
«nous avions des statuts clairs (agences médias, régies), la question des nouveaux statuts se pose»
«dans le programmatique, on est passé de ‘’qui est le moins cher ?’’ à ‘’qui est le plus efficace ?’’»
«5 questions se posent à nous : 1) le contexte réglementaire est-il toujours opérationnel ? – 2) quels sont les statuts qui doivent apparaître ? (question des nouveaux acteurs) – 3) quels outils pour maintenir la transparence économique ? – 4) est-ce urgent de travailler sur la réglementation ? (l’achat programmatique représente 1% de l’achat pub e, France) – 5) doit-on travailler sur une régulation locale en France ou plus globalement à l’international ?»
 
Loïc Armand (UDA):
«la transformation d'espace a une valeur et doit être rémunérée»
«la transparence économique n'est pas négociable, il n'y a pas d'exception internet»
«il ne faut pas aller au Parlement, on sait comment on y rentre, pas comment on en sort»
«je suis un fana de l'auto-régulation (…) il y a 4 conditions à l'auto-régulation:
engagement, audit externe, dialogue et objectifs communs»
« il faut éviter de se quereller afin que l’ensemble des entreprises, notamment les PME, profite du RTB et il faut s’entendre sur des objectifs communs entre annonceurs, agences et médias pour éviter les conflits d’intérêt»
«je suis pour garder les principes de la loi Sapin mais travailler sur des éléments réglementaires»
 
Hervé Brunet (StickyADS.tv):
«il y a un travail marketing à faire pour promouvoir la marque France à l'étranger»
 
Dominique Delport (Havas Media): 
«en France, on a des matheux formidables et les succès du web fonctionnent sur des algorithmes»
 
Marie Ekeland (Elaia): 
«le digital est international, si vous n'y allez pas les autres viendront»
 
Pierre Chappaz (Ebuzzing): 
 «on ne peut pas construire un succès internet franco-français, par définition la techno est mondiale»
 
Cyril Zimmerman (Hi-Media):
«la technologie est, dans la publicité, ce qui nous permet le plus facilement de nous internationaliser»
 
Jean-Baptiste Rudelle (Criteo):
«la qualité des impressions, la répétition des contacts et la mesure du ROI restent des sujets majeurs de l'achat programmatique (…) pour répondre à ces 3 problématiques, Criteo a choisi le mode d'achat au clic»
«plus de 30% des impressions web sont sous la ligne de flottaison, c’est-à-dire jamais vues»

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