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La Parisienne construit sa réinvention autour du mobile

La Parisienne construit sa réinvention autour du mobile
Devenir la première marque de la presse féminine sur mobile en 2018, c’est l’objectif de La Parisienne, supplément mensuel féminin de la marque Le Parisien (LVMH) qui renouvelle en ce moment ses interfaces digitales mobiles ainsi que ses contenus print dans le prochain numéro de vendredi. Pour cela, la marque adopte une stratégie de «moment marketing» mobile first avec des contenus qui viennent rythmer la journée comme par exemple un «instant beauté» le matin, un «moment fourchette» à l’heure du déjeuner, ou une «minute pop culture» le soir.
La nouvelle signature «qui m’aime me suit» doit incarner l’état d’esprit de La Parisienne, «positif, curieux, généreux, ultra-connecté, audacieux et parfois impertinent». Un nouveau logo plus épuré accompagne cette refonte.
Des modules serviciels enrichissent l’offre éditoriale avec des défis (des programmes de coaching sur des sujets forme, beauté, travail…) ou encore des CityMaps, des cartes géolocalisées et interactives pour découvrir de nouvelles adresses. Par ailleurs, un collectif d’influenceuses, réunies sous le label «La Parisienne Squad», invite les lectrices dans leur quotidien et partage leurs coups de cœur et inspirations sur le site comme sur le magazine.
Sur le print, chaque numéro se veut «collector», avec une thématique choisie qui sera déroulée en fil rouge dans les pages. La nouvelle formule, de 92 pages, est réorganisée en trois grandes parties : «Inspirations» avec des rubriques mode et beauté ; «Stories» autour de portraits, rencontres et enquêtes sur des personnalités ; et «Ici c’est Paname», avec des rendez-vous culture et agenda. La mise en place du prochain numéro est annoncée à 320 000 exemplaires. La diffusion France Payée (ACPM) du couplage Le Parisien Aujourd'hui en France était de 334 889ex en février dernier
Côté publicité, selon Corinne Mrejen, présidente de Team Media, «environ un tiers du chiffre d’affaires publicitaire proviendra de la publicité classique en print et mobile, un autre tiers du native advertising et au brand content, et enfin le dernier tiers des events pour des lancements de produits par exemple».
Au global, La Parisienne veut doubler son chiffre d'affaires, qui s'élève actuellement à un peu plus d'un million d'euros. 

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