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Precepta étudie la structuration et les perspectives du crowdfunding

Precepta étudie la structuration et les perspectives du crowdfunding

Le crowdfunding est-il le nouvel eldorado du financement ? Telle est la question posée par Precepta (groupe Xerfi) dans son étude intitulée «Le crowdfunding ou financement participatif en France – Consolidation du marché et business models».
En France, les montants collectés par les plateformes de crowdfunding devraient doubler en 2014, pour dépasser la barre des 150 millions d’euros. Ils pourraient atteindre plusieurs milliards d’euros à l’horizon 2020. Cette nouvelle profession doit sa vitalité à «l’attachement renouvelé à la communauté, à l’essor des NTICs ou encore aux préoccupations écologiques et sociales croissantes». Il bénéficiera prochainement d’un cadre réglementaire propre.
Precepta décrit les différentes formes de financement participatif, classé en trois grands segments : les dons avec ou sans contrepartie, les prêts et l’investissement au capital. Sur les 8 premiers mois de l’année, une vingtaine de nouveaux acteurs sont venus grossir les rangs de la profession. Pour se démarquer des acteurs historiques, ils misent sur la spécialisation : géographique, sectorielle ou communautaire. Les leaders, eux, se diversifient en créant de nouvelles marques et s’internationalisent à l’image d’Ulule et de KissKissBankBank.
Dans ce rapport de 180 pages, Precepta relève que les «plateformes doivent penser leurs marques comme des médias, avec un préalable : la construction d’une identité forte et le partage de valeurs communes avec la communauté ciblée».
Selon Precepta, le crowdfunding nécessite de «s’appuyer sur une communauté active, pertinente et fidèle» et est bien complémentaire de la finance traditionnelle.

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